Savez-vous qu’il existe du béton écologique et qu’on peut tout aussi l’utiliser pour le coffrage de béton ? On vous en dit plus dans cet article.
Savez-vous qu’il existe du béton écologique et qu’on peut tout aussi l’utiliser pour le coffrage de béton ? On vous en dit plus dans cet article.
Aujourd'hui, les petites et moyennes entreprises (les PME) désirent pouvoir mieux maîtriser leur coût d'impression en recherchant une solution optimale qui leur permettent de conserver une bonne qualité d'impression tout en s'inscrivant dans une démarche de développement durable.
Du point de vue environnemental et social, la question de développement durable est devenu un facteur important pour la compétitivité de l’entreprise en obligeant les organisations de changer la manière de concevoir les processus différents, la production, les technologies et les modèles de business. Du point de vue financier la priorité qui est donnée aux parties prenantes a ouvert la voie à une nouvelle façon d’optimisation de la valeur qui englobe les intérêts de tous les parties prenantes et requiert des entreprises de diriger leurs stratégies et leurs opérations vers l’amélioration continue de la performance économique, sociale et environnementale.
Il est aujourd’hui quasiment inévitable pour les entreprises d’intégrer le développement durable dans leur stratégie marketing.
Pour survivre, toutes les Entreprises communiquent pour conquérir des clients, elles jouent sur la qualité de leurs produits, de leurs services, sur les avantages apportés par rapport à la concurrence et sur la satisfaction des attentes de leurs clients. Beaucoup d’entre elles pensent encore que le social se fait au détriment de l’économique.
Environnement, commerce équitable, responsabilité sociale… Et si les réseaux sociaux facilitaient le passage à l’action ? De nombreux sites communautaires sur le développement durable voient le jour depuis quelques années et font écho aux grandes mutations d’Internet et des nouvelles générations.
Pour certains, c'était déjà compliqué d'intégrer tout le vocabulaire du développement durable: bio, équitable, recyclé, recyclable, biodégradable, etc... mais voilà que pour chacune de ses terminologies, plusieurs labels se revendiquent comme système de garantie. Passons sur les nombreux débats que suscite le mot label (officiel, pas officiel, public, privé) pour pointer les différences d'interprétation qui existent entre les labels et comment on peut vite se perdre au point d'avoir envie de tous les jeter dans la même poubelle (et oui, sans même les trier ;-)
L’article 116 de la loi dite NRE (n°2001-420 du 15 mai 2001) impose aux entreprises émettrices de titre sur un marché réglementé de communiquer leurs performances extra financières, c’est à dire leurs bonnes pratiques en matière social et environnemental.
Cette loi ne touche que les grandes entreprises, le plus souvent côtés en bourse, et ne s’adresse pas aux PME. Cependant, la communication d’informations sociales et environnementales est depuis devenue un enjeu fort de différentiation et de conquête de nouveau marché. Pour s’en rendre compte, il suffit de parcourir le site de quelques grandes entreprises à la rubrique «Développement Durable» ou «Rapport Financier».
Peut-on croire aux technologies numériques vertes ? Face aux préoccupations environnementales actuelles, les technologies de l'information et de la communication véhiculent une image de technologie propre. Argument avancé : la dématérialisation, parce qu'elle permettrait de diminuer la consommation de papier et de réduire les déplacements, aurait un impact environnemental positif.
Nous avons tenté d'y voir plus clair, en réalisant une étude qui questionne les enjeux écologiques des technologies numériques de l'information et de la communication.
Grâce au développement des nouvelles technologies et à l'essor du web, on peut aujourd'hui communiquer plus efficacement, de manière plus qualitative tout en réduisant ses coûts et en améliorant son bilan carbone.
Chaque entreprise produit des catalogues, des tarifs, des dossiers de presse… Ces supports ont 2 inconvénients. D'une part ils ont un coût (papier, impression, expédition…); d'autre part ils ont un impact sur le bilan carbone de la société qui les émet.
Développement durable, nouvelles technologies, économies d'énergies… sont aujourd’hui au cœur des préoccupations des chefs d’entreprises. Cependant, bien que la plupart des entreprises partagent ces valeurs, nombreuses sont celles qui, déjà effrayées par la complexité de la règlementation, des solutions techniques possibles et le manque de clarté des offres…, reculent devant le surcout quasi systématiquement induit par cette nouvelle culture de la construction basse consommation.
Il est parfois reproché au Bilan Carbone® d’être peu opérationnel, l’ADEME elle-même le déplore dans son étude intitulée « Le bilan des bilans carbone », parue en novembre 2010. Dans ce document, qui analyse 284 Bilans Carbone® réalisés entre 2004 et 2010, l’ADEME note que « les recommandations issues d’un BC® sont peu opérationnelles et nécessitent bien souvent des études complémentaires ». Au vu de ce constat, on peut se poser deux questions : le Bilan Carbone® est-il utile et peut-on le rendre opérationnel? Nous répondons OUI et OUI.
La communication « verte » est à la mode : tous les secteurs d'activité en usent et en abusent, transformant n'importe quel produit d'épargne en service « écologique ». Cette tendance au greenwashing a de quoi faire douter les consommateurs sur les réelles motivations des entreprises. Alors comment peut-on vraiment communiquer sur son action écologique ?
La notion d’ « entreprise durable » reste encore une notion floue. S’agit-il d’une entreprise verte ? Faut-il parler d’éco-entrepreneur ? Est-ce l’entreprise qui répond aux préoccupations du Développement Durable ? Est-elle celle qui respecte certains critères de Responsabilité Sociale de l’Entreprise (RSE)? Différentes perspectives peuvent être ainsi données à la constitution d’entreprises durables ou à une évolution vers une « entreprise durable ». Mais au-delà de ces diverses conceptions, ne faut-il pas simplement venir questionner l’objectif de rentabilité considéré comme indissociable de l’entreprise ? Ne serait-il pas nécessaire de repositionner l’objectif d’une entreprise sur celui de sa viabilité ?
L’émergence de différents concepts (tels que le développement durable, ou la responsabilité sociale et environnementale) au sein des stratégies des entreprises pourrait tenir lieu de petite révolution. Les seuls critères économiques ne suffisent plus à analyser les résultats des entreprises, ni à garantir une maîtrise des risques suffisante. Il s’agit alors aujourd’hui de mesurer la performance des PME sous l’angle des critères économiques, mais aussi des critères environnementaux, sociaux, et de gouvernance (ESG).
La littérature économique nous vante le développement durable et nous parle de SME (Système de Management Environnemental) ou de RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises)… Ces grands mots évoquant le développement durable ont plutôt tendance à éloigner les petites entreprises - TPE et PME de France - de la démarche durable, perçue alors comme compliquée, inaccessible, réservée aux grandes entreprises. Pourtant il y a plus de petites entreprises en France que de grands groupes et il est urgent de démocratiser la « révolution Green », autrement dit de rendre la démarche développement durable accessible au plus grand nombre.
L'éco-conception est une préoccupation de tout le monde, un phénomène nécessaire et majore pour préserver la nature et rendre l’environnement endurable (humain, sociale et industriel). Par la prise en compte, dès la conception de produits, la réduction de l'impact d’impureté sur l'environnement depuis l’extraction de matières premières jusqu’à son élimination en fin de vie.
Le Grenelle de l’Environnement a fixé l’objectif d’un parc photovoltaïque installé de 5400 MW en 2020.
Cette incitation des pouvoirs publics à utiliser le photovoltaïque dans le cadre du développement des énergies renouvelables, renforcée par les incitations fiscales mises en place par la loi n°2007-1223 du 21 août 2007 en faveur du travail, de l'emploi et du pouvoir d'achat, dite loi "TEPA", qui bénéficient aussi aux investissements réalisés dans le capital de sociétés exploitant des centrales photovoltaïques, a suscité de nombreux projets de construction de centrales photovoltaïques (centrales au sol ou en toiture).