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Entreprendre > Micro-entrepreneur > Portage salarial ou statut micro-entrepreneur : lequel choisir ?

Portage salarial ou statut micro-entrepreneur : lequel choisir ?

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Création : 5 septembre 2017
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Choisir entre portage et microentrepreneur

Vers quel statut juridique s'orienter pour lancer son activité indépendante ? Si le très accessible régime micro-entrepreneur (anciennement "auto-entrepreneur") jouit d'une grande popularité chez les nouveaux venus, il ne faudrait pas oublier l'existence d'un autre statut, également adapté à une entrée dans le monde de l’entrepreneuriat : le portage salarial ! Pour compliquer un peu plus les choses, portage salarial et micro-entreprise sous tous deux victimes d’idées préconçues plus ou moins fondées qui n’aident pas à faire un choix. Dans cet article, nous vous proposons de détricoter le vrai du faux pour vous aider à choisir en votre âme et conscience !

 

 

 

 

Le portage salarial n'est pas accessible à tout le monde

 

VRAI. Bien que le portage salarial soit aujourd'hui ouvert à un plus grand nombre de professions qu'auparavant, il n'en demeure pas moins réservé aux professionnels autonomes pouvant justifier d'une qualification suffisante et d'un niveau de rémunération au moins égal à 75 % du plafond de la Sécurité Sociale . De plus, certaines professions, à l'image des professions réglementées et des prestations de services à la personne, sont exclues d'office.

 

La micro-entreprise offre davantage de liberté

 

VRAI. Bien que complètement autonome quant à la gestion de son activité, le salarié porté doit rendre un compte-rendu d'activité chaque mois. Avant de réaliser une mission, celle-ci doit par ailleurs être préalablement validée par la société de portage salarial. Le but est moins de contrôler l'activité du porté que de s'assurer que sa mission entre bien dans le cadre strict fixé par la loi.

 

Le salarié porté ne touche pas l'intégralité de son chiffre d'affaires

 

VRAI. Une partie du chiffre d'affaires réalisé par le salarié porté est prélevé par sa société de portage salarial au titre des frais de gestion. Ceux-ci permettent de lui assurer l'accès à un certain nombre de services : formations, prise en charge des obligations comptables, accès à des offres de missions, accompagnement aux appels d'offres...

Si le micro-entrepreneur n'a aucun frais de gestion à reverser, il doit cependant s'acquitter de cotisations sociales, de 13,1 % à 22,7 %, comme n'importe quel autre entrepreneur indépendant. En revanche, contrairement au salarié porté, il ne peut pas demander le remboursement des frais professionnels non pris en charge par ses clients.

 

Le régime de la micro-entreprise permet de mieux gagner sa vie

 

FAUX. Même si le salarié porté doit reverser une partie de ses honoraires sous forme de frais de gestion, en plus de ses charges salariales, il n'est soumis à aucun plafonnement, comme c'est le cas dans le contexte de la micro-entreprise .

Suivant son expérience, la rareté de sa spécialité, sa force commerciale et son implication, il peut aisément parvenir à atteindre des seuils de rémunération très élevés ; alors que le micro-entrepreneur est contraint de changer rapidement de statut juridique pour pouvoir continuer à développer son activité.

 

Le salarié porté est accompagné durant son activité

 

VRAI. L'un des avantages majeurs du statut réside dans l'accompagnement dont bénéficie le professionnel dans le cadre de son activité. Toutes les sociétés de portage ne proposent cependant pas le même niveau de prestation. L'ancienneté et les avis des professionnels sont de bons indicateurs quant au sérieux à accorder à une entreprise du secteur.

De son côté, le micro-entrepreneur profite d'un régime simplifié et accessible qui ne le dispense pas de réaliser ses déclarations, éditer ses factures, ouvrir un compte bancaire, souscrire une assurance professionnelle et ne compter que sur lui-même pour développer son réseau professionnel.

 

La micro-entreprise est associée à la précarité

 

VRAI. Statut apprécié pour son accessibilité, le régime micro-entrepreneur attire à la fois des salariés en quête de reconversion, des entrepreneurs en herbe et des étudiants qui souhaitent trouver une source de financement supplémentaire pour leurs études. Dans les faits, nombre de ces profils parviennent à peine à générer de quoi payer un loyer. Résultat : le statut micro-entrepreneur est parfois perçu avec un mélange de frilosité et de condescendance par les grandes entreprises en recherche de prestataires.

Même s'il est sensiblement moins connu, en tout cas dans le grand public, le portage salarial ne souffre pas des même a priori négatifs. Au contraire, étant donné le niveau de qualification et de rémunération exigé pour en profiter, la plupart consultants et managers en portage salarial sont perçus comme des professionnels sérieux et expérimentés.

 

Le salarié porté et le micro-entrepreneur bénéficient de la même sécurité

 

FAUX. Le salarié porté est affilié au régime général la Sécurité Sociale, tandis que le micro-entrepreneur est rattaché au régime social des indépendants (RSI), notoirement connu pour son niveau de protection moindre.

Pour combler cette lacune, le professionnel qui choisit la micro-entreprise doit souvent souscrire un contrat de mutuelle complémentaire. Il doit la régler dans son intégralité, alors que 50 % du montant du contrat de base de la complémentaire d'entreprise obligatoire est pris en charge par la société de portage salarial.

 

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