Vous rencontrez des difficultés pour vous faire régler rapidement vos factures ? Vous aimeriez vous concentrer pleinement sur votre cœur d'activité et éviter de relancer à maintes reprises vos clients ? Découvrez le fonctionnement de l'affacturage !
Le financement des professionnels et des entreprises est un sujet complexe qui fait généralement couler beaucoup d'encre. Les dirigeants d'entreprise pensent (et expriment) que les banques ne jouent pas leur rôle quant au financement de l'économie et donc des TPE et PME. Que ce soit vrai ou non, l'emprunt bancaire n'est pas la seule solution financière à l'attention des petites entreprises. D'autres outils moins connus ou mal-aimés comme l'affacturage ou le leasing sont respectivement adaptés au financement de la trésorerie ou encore du matériel d'exploitation.
Par ailleurs de nouveaux entrants, appelés Fintech, viennent depuis peu concurrencer les acteurs traditionnels du financement. C'est le cas notamment des plateformes de crowdfunding ou crowdlending mais aussi du financement de factures.
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Si les banques se sont presque désengagées du monde de l’économie réelle en diminuant le nombre de prêts accordés aux PME, celles-ci ont toujours besoin de financement pour développer leurs activités industrielles, commerciales, mais également investir dans la recherche ou se déployer à l’international, par exemple. Alors, pourquoi ne pas investir votre excédent financier dans une PME ? La rentabilité espérée est largement supérieure à l’épargne classique, la fierté en plus. Explications.
L'un des aspects les plus difficiles lors du démarrage d'une entreprise est le financement. Vous pouvez tenter de convaincre des investisseurs et des sociétés de capital-risque, mais si vous êtes nouveau dans le domaine de l’entrepreneuriat, vos chances d'obtenir un financement par ces canaux sont plutôt minces. Vous pouvez également en discuter avec votre banque, et même avec vos amis et votre famille pour voir s'ils seraient en mesure de vous prêter de l'argent, mais c'est souvent une bataille difficile.
Quel que soit votre statut juridique (entrepreneur individuel, TPE-PME, etc.), il est assez courant qu'au cours de votre activité vous recouriez à des financements professionnels pour acquérir des biens matériels (machines, fournitures, stocks) ou des biens immobiliers (locaux, bureaux). Le financement professionnel peut aussi servir à reconstituer vos besoins en fonds de roulement afin de pallier au manque de trésorerie.
Les avancées technologiques et l'essor de la connectivité Internet permettent maintenant aux entreprises d'explorer diverses options d'accès au capital. Auparavant, les sources de financement des entreprises se limitaient aux banques, aux autres institutions financières, aux investisseurs, à la famille et aux amis. Mais avec l'émergence des prêts en ligne et du financement participatif, les méthodes d'évaluation et d'obtention de prêts sont devenues beaucoup plus faciles pour les entrepreneurs.
La question des factures impayées concerne toutes les entreprises. C'est un problème ayant un impact considérable sur l'activité de l'organisation. Toutefois, les conséquences ne seront pas les mêmes pour chaque structure. En effet, elles sont plus graves pour les petites entreprises dont les ressources financières sont moins importantes. Dans ce billet, nous allons vous rappeler les risques que les impayés représentent pour votre entreprise.
Négocier un emprunt pour son entreprise, qu'il s'agisse des étapes de lancement ou encore de développement, doit faire l'objet de la définition d'une stratégie au préalable afin de maximiser ses chances d'avoir les meilleures conditions possibles. Etant donné que négocier un emprunt reste un exercice qui peut s'avérer difficile, voici quelques conseils pour vous aider à préparer cette étape importante.
Alors qu’elles font déjà face aux problèmes d’impayés et de mauvaise gestion, les PME doivent aujourd’hui affronter de nouveaux problèmes financiers et notamment : la volatilité du marché des changes, la fluctuation des cours des matières premières et des taux d’intérêt.
Les TPE-PME, plus fragiles que les grandes sociétés, présentent une sensibilité particulière aux risques financiers. Cette exposition plus importante aux risques s’explique d’abord par leur taille. Moins structurées, les PME ont tendance à sous-estimer leur besoin en fonds de roulement (BFR) et à négliger la partie recouvrement des créances.
Une aide publique ne permet pas financer un projet. Par contre, elle peut alléger les charges ou permettre de démarrer plus vite. La difficulté est de trouver l’information pertinente.
Avec l’aide des pouvoirs publics, l'Institut Supérieur des Métiers (ISM) a créé un service d’information en ligne répertoriant les dispositifs d’aides financières publiques aux entreprises disponibles en France. Il s’agit de l’Observatoire des Aides aux Entreprises. Cette base de données recense l’ensemble des solutions existantes : prêts, subventions, allégements fiscaux, exonérations de charges…
Selon les chiffres de l’INSEE, en 2014, les créateurs d’entreprise se sont lancés avec des investissements initiaux inférieurs aux créateurs de 2010. En 2014, 53 % des créateurs disposaient de moins de 8 000 euros, contre 44 % en 2010. Cette tendance est confirmée pour les projets démarrés avec moins de 2 000 euros : 29,1 % en 2014 contre 18,8 % en 2010.
Qu'est-ce qu'un crédit d'impôt ?
Le crédit d’impôt est une somme qui vient se soustraire au montant de l’impôt. Il concerne les entreprises industrielles, agricoles et commerciales. A la différence de la réduction d’impôt, le crédit d’impôt peut vous êtes reversé en totalité ou partiellement par le fisc dans l’un des deux cas suivants :
● Si son montant dépasse celui de votre impôt.
● Si vous n’êtes pas imposable.
Depuis le 1er octobre 2014, le financement participatif est réglementé et les particuliers peuvent jouer le rôle de banquier afin de financer des entreprises. Ils profitent ainsi de taux d'intérêts avantageux tout en réalisant un placement utile et profitant à l'économie locale.
Le terme de crowdfunding est un anglicisme à la mode dans la presse spécialisée. En français il peut être traduit par financement par la foule mais le terme exact est financement participatif. Il consiste à faire financer un projet social, environnemental, culturel mais aussi entrepreneurial par des particuliers aux multiples motivations.
Un sondage effectué auprès des patrons de PME révèle qu'un bon tiers d'entre eux rencontrent des difficultés pour assurer le financement de leur entreprise. Il en résulte notamment une baisse des prévisions d'investissements et des situations de trésorerie souvent tendues.
Si, comme beaucoup, vous souhaitez vous lancer dans la création d'entreprise, sachez que les banques ne vous accompagneront que si vous respectez certains critères essentiels. En effet, dans une période de crise où ces organismes sont devenus frileux, votre crédibilité et votre organisation seront des atouts majeurs. Mais comment faire en sorte que les banques croient en vous ?
Le financement d’une création ou d’une reprise d’entreprise, est une opération à risque pour les prêteurs de fonds. L’une des méthodes qu’ils utilisent le plus pour limiter les risques encourus est de demander une garantie aux créateurs et repreneurs d’entreprise. Ces derniers disposent de différentes solutions pour garantir les financements qu’ils reçoivent. Celles-ci peuvent être divisées en deux grands groupes : les garanties réelles et les garanties personnelles.
Pour amorcer une start-up et démarrer une entreprise, différentes possibilités de financement s'offrent à l'entrepreneur. On peut, en fonction de la nature de l'entreprise et de ses relations, faire appel au "love money", à des business angels, ou encore à des fonds d'investissements, par exemple.
Les fonds propres, ou capitaux propres, constituent la ressource stable de financement de votre entreprise. Au premier jour de création de l’entreprise, les fonds propres sont composés du capital social de l’entreprise, mais vont ensuite augmenter à mesure des exigences de l’entreprise. Les fonds propres comprennent donc les apports en numéraire des associés, ainsi que les profits qui ont été dégagés chaque année et conservés par l’entreprise sans être réinvestis ou distribués sous forme de dividende. Ces sommes supplémentaires constituent la réserve.
Le crowdfunding est une pratique de plus en plus répandue qui permet à des porteurs de projets de se lancer grâce à des donateurs qui ont été séduits par la créativité et l’idée de futurs entrepreneurs. Ce que l’on appelle en français la finance participative permet de lever des fonds sans passer par le circuit bancaire pour éviter, parfois, d’essuyer des refus. De nombreuses plateformes ont été créées pour mettre en relation les porteurs de projets et les donateurs.
Un prêt participatif (à ne pas confondre avec la finance participative ou "crowdfunding") est un financement émis par les sociétés du secteur public, des compagnies d'assurances, ou encore des sociétés coopératives.
Le leasing est une opération de crédit et de location, ce terme est traduit par crédit-bail en français. Cette opération financière fait intervenir trois personnes obligatoirement : le fabricant ou le vendeur de matériel, l'établissement de crédit qui assure le financement et l'utilisateur qui loue le matériel.
L'affacturage ou factoring en anglais est un mode de financement souvent mal connu des dirigeants d'entreprise voire même mal vu. Pourtant c'est un outil redoutable pour financer la trésorerie à condition d'exercer sur un marché B to B tel que le négoce, l'informatique, les travaux publics, ...
Le crédit bancaire aux professionnels appelé de manière plus courante " crédit pro " ou " prêt à l'entreprise " est un emprunt bancaire destiné à financer un bien dont l'usage est exclusivement réservé à des fins professionnelles.
Lors de la création ou de la reprise d'une entreprise, ou tout simplement en cas de situation financière délicate, l'entrepreneur peut se demander quels sont les moyens de financement qui sont à sa disposition pour viabiliser et développer sa TPE ou sa PME. Dans ce dossier spécial financement, nous vous dévoilons certains outils de financement mal connus.
Le financement participatif a représenté en 2012 plus de 2 500 de milliards de dollars de financement. En France, depuis 2010, ce sont près de 15 000 projets qui ont été financés pour un montant total de 60 millions d’euros.
Et le phénomène n’en est qu’à ses débuts. Selon une étude de Xerfi, en 2015, le financement participatif français représentera 150 millions d’euros.
Tout ceci est très bien mais d’abord qu’est-ce que le financement participatif ou crowdfunding ? Surtout, comment peut-il être utilisé par les TPE et PME françaises pour se lancer ou se développer ?
Le financement participatif fait l’actualité ces temps- ci. Alors que les Etats- Unis ont déjà fait évoluer leur cadre juridique il y a plus d'un an, la France est en retard. Fleur Pellerin, Ministre déléguée aux PME, à l'innovation et à l'économie numérique, a annoncé des changements de régulation pour la fin 2013. Ces mesures devraient être annoncées prochainement …
Aujourd'hui, il est parfois difficile de faire financer un projet par les banques et certains investisseurs car la sélection et la prudence sont de mise. Alors, plutôt qu'un prêt qu'il vous faudra rembourser avec intérêts, c'est le moment ou jamais de se tourner vers Bruxelles pour solliciter une subvention européenne.
Il y a un mois s'est tenu notre premier "comité stratégique", la réunion trimestrielle avec notamment le fonds de capital risque qui est entré dans notre capital en début d'année. Plus généralement, si je suis dirigeant majoritaire et le seul opérationnel, la société n'en compte pas moins huit associés. Ces associés entrent dans l'une des catégories dans lesquelles on les range parfois : friends, family and fool, entrepreneurs business angels, business angels et capitaux risqueurs. Voici donc une bonne occasion de faire le point sur les relations entre associés telle que je les pratique et telles que je pense qu'elles devraient l'être.
OSEZ CRÉER VOTRE ENTREPRISE !
Selon une étude de l’INSEE, le nombre de création d’entreprise à diminuer de 14% (Août 2011) notamment dans les secteurs des services à la personnes (-21%), l’information et communication (-17%).
La difficile quête de l’équilibre budgétaire…
Dans un monde en totale ébullition, tel qu’il l’est aujourd’hui, nombreux sont les entrepreneurs qui ont du mal à comprendre comment évaluer leurs futurs investissements.
Quels sont les leviers de la croissance, quels sont les éléments économiques qui noient les états (aides sociales par exemple), quels sont les leviers sur lesquels peut, doit, s’appuyer l’entrepreneur ou le futur créateur pour amorcer sa réflexion et évaluer ses investissements à venir.
La Bourse DYMO® est destinée à soutenir des projets à vocation sociale, sociétale ou environnementale, dans des domaines allant de l’environnement à l’éducation en passant par la réinsertion professionnelle, le micro crédit ou encore la nutrition. Cette catégorie accueillera également les entreprises qui mettent en oeuvre une démarche responsable dans l’exercice de leur activité : aide à l’insertion professionnelle, optimisation des ressources en énergie, limitation de la production de déchets et mise en place du tri sélectif, optimisation des modes de transports…
De plus en plus de français se lancent dans la création de leur entreprise, incités notamment par de nouvelles dispositions visant à favoriser cette émergence : Statut d’auto-entrepreneur, promotion du portage salarial, création du statut d’EIRL, … Dernièrement (fin décembre) c’est Frédéric Lefebvre, secrétaire d’Etat chargé du Commerce, de l’Artisanat, des Petites et moyennes entreprises, du Tourisme, des Services, des Professions libérales et de la Consommation, qui a annoncé 4 mesures visant à simplifier et à améliorer l’appui territorial aux PME, pour réduire encore le nombre de créateurs qui hésitent encore à franchir le cap de la création d’entreprise, essentiellement parce qu’ils redoutent des procédures administratives complexes.
Le projet de loi de finance 2011 prévoit la modification des statuts JEI (Jeunes entreprises innovantes) et du CIR (Crédit Impôt Recherche). Ces outils très utilisés, par les jeunes entreprises, notamment du secteur des Technologies de l’Information et de la Communication, constituent de véritables leviers de développement dans des secteurs très concurrencés, surtout au niveau international.
Un plan de financement destiné à un projet de création d’entreprise prévoit généralement un apport personnel accompagné d’un prêt bancaire. Pourquoi faut-il un apport personnel ? Un apport minimum est-il requis ? Y a-t-il une règle en la matière ?
L’apport financier de l’entrepreneur n’étant pas toujours proportionnel à sa qualité de dirigeant, il existe une solution pour qu’une acquisition, un développement ou une création d’entreprise se fasse correctement : compléter son apport par des capitaux extérieurs.
Peut-on créer une entreprise sans argent ? Certainement pas ! Il ne faut pas sous-estimer les besoins financiers d'une jeune entreprise, et ne pas attendre l'urgence pour trouver des fonds. Est-ce à dire que la création d'entreprise est réservée aux riches ? Non, heureusement : capital, prêts d'honneur, prêts bancaires, Oseo, capital-risque … des dispositifs financiers permettent au jeune dirigeant d'accompagner sa croissance. Comment les utiliser ? Quels sont les pièges à éviter ?