Le crédit bancaire aux professionnels appelé de manière plus courante " crédit pro " ou " prêt à l'entreprise " est un emprunt bancaire destiné à financer un bien dont l'usage est exclusivement réservé à des fins professionnelles.
Le financement des professionnels et des entreprises est un sujet complexe qui fait généralement couler beaucoup d'encre. Les dirigeants d'entreprise pensent (et expriment) que les banques ne jouent pas leur rôle quant au financement de l'économie et donc des TPE et PME. Que ce soit vrai ou non, l'emprunt bancaire n'est pas la seule solution financière à l'attention des petites entreprises. D'autres outils moins connus ou mal-aimés comme l'affacturage ou le leasing sont respectivement adaptés au financement de la trésorerie ou encore du matériel d'exploitation.
Par ailleurs de nouveaux entrants, appelés Fintech, viennent depuis peu concurrencer les acteurs traditionnels du financement. C'est le cas notamment des plateformes de crowdfunding ou crowdlending mais aussi du financement de factures.
Le crédit bancaire aux professionnels appelé de manière plus courante " crédit pro " ou " prêt à l'entreprise " est un emprunt bancaire destiné à financer un bien dont l'usage est exclusivement réservé à des fins professionnelles.
Lors de la création ou de la reprise d'une entreprise, ou tout simplement en cas de situation financière délicate, l'entrepreneur peut se demander quels sont les moyens de financement qui sont à sa disposition pour viabiliser et développer sa TPE ou sa PME. Dans ce dossier spécial financement, nous vous dévoilons certains outils de financement mal connus.
Le financement participatif a représenté en 2012 plus de 2 500 de milliards de dollars de financement. En France, depuis 2010, ce sont près de 15 000 projets qui ont été financés pour un montant total de 60 millions d’euros.
Et le phénomène n’en est qu’à ses débuts. Selon une étude de Xerfi, en 2015, le financement participatif français représentera 150 millions d’euros.
Tout ceci est très bien mais d’abord qu’est-ce que le financement participatif ou crowdfunding ? Surtout, comment peut-il être utilisé par les TPE et PME françaises pour se lancer ou se développer ?
Le financement participatif fait l’actualité ces temps- ci. Alors que les Etats- Unis ont déjà fait évoluer leur cadre juridique il y a plus d'un an, la France est en retard. Fleur Pellerin, Ministre déléguée aux PME, à l'innovation et à l'économie numérique, a annoncé des changements de régulation pour la fin 2013. Ces mesures devraient être annoncées prochainement …
Aujourd'hui, il est parfois difficile de faire financer un projet par les banques et certains investisseurs car la sélection et la prudence sont de mise. Alors, plutôt qu'un prêt qu'il vous faudra rembourser avec intérêts, c'est le moment ou jamais de se tourner vers Bruxelles pour solliciter une subvention européenne.
Il y a un mois s'est tenu notre premier "comité stratégique", la réunion trimestrielle avec notamment le fonds de capital risque qui est entré dans notre capital en début d'année. Plus généralement, si je suis dirigeant majoritaire et le seul opérationnel, la société n'en compte pas moins huit associés. Ces associés entrent dans l'une des catégories dans lesquelles on les range parfois : friends, family and fool, entrepreneurs business angels, business angels et capitaux risqueurs. Voici donc une bonne occasion de faire le point sur les relations entre associés telle que je les pratique et telles que je pense qu'elles devraient l'être.
OSEZ CRÉER VOTRE ENTREPRISE !
Selon une étude de l’INSEE, le nombre de création d’entreprise à diminuer de 14% (Août 2011) notamment dans les secteurs des services à la personnes (-21%), l’information et communication (-17%).
La difficile quête de l’équilibre budgétaire…
Dans un monde en totale ébullition, tel qu’il l’est aujourd’hui, nombreux sont les entrepreneurs qui ont du mal à comprendre comment évaluer leurs futurs investissements.
Quels sont les leviers de la croissance, quels sont les éléments économiques qui noient les états (aides sociales par exemple), quels sont les leviers sur lesquels peut, doit, s’appuyer l’entrepreneur ou le futur créateur pour amorcer sa réflexion et évaluer ses investissements à venir.
La Bourse DYMO® est destinée à soutenir des projets à vocation sociale, sociétale ou environnementale, dans des domaines allant de l’environnement à l’éducation en passant par la réinsertion professionnelle, le micro crédit ou encore la nutrition. Cette catégorie accueillera également les entreprises qui mettent en oeuvre une démarche responsable dans l’exercice de leur activité : aide à l’insertion professionnelle, optimisation des ressources en énergie, limitation de la production de déchets et mise en place du tri sélectif, optimisation des modes de transports…
De plus en plus de français se lancent dans la création de leur entreprise, incités notamment par de nouvelles dispositions visant à favoriser cette émergence : Statut d’auto-entrepreneur, promotion du portage salarial, création du statut d’EIRL, … Dernièrement (fin décembre) c’est Frédéric Lefebvre, secrétaire d’Etat chargé du Commerce, de l’Artisanat, des Petites et moyennes entreprises, du Tourisme, des Services, des Professions libérales et de la Consommation, qui a annoncé 4 mesures visant à simplifier et à améliorer l’appui territorial aux PME, pour réduire encore le nombre de créateurs qui hésitent encore à franchir le cap de la création d’entreprise, essentiellement parce qu’ils redoutent des procédures administratives complexes.
Le projet de loi de finance 2011 prévoit la modification des statuts JEI (Jeunes entreprises innovantes) et du CIR (Crédit Impôt Recherche). Ces outils très utilisés, par les jeunes entreprises, notamment du secteur des Technologies de l’Information et de la Communication, constituent de véritables leviers de développement dans des secteurs très concurrencés, surtout au niveau international.
Un plan de financement destiné à un projet de création d’entreprise prévoit généralement un apport personnel accompagné d’un prêt bancaire. Pourquoi faut-il un apport personnel ? Un apport minimum est-il requis ? Y a-t-il une règle en la matière ?
L’apport financier de l’entrepreneur n’étant pas toujours proportionnel à sa qualité de dirigeant, il existe une solution pour qu’une acquisition, un développement ou une création d’entreprise se fasse correctement : compléter son apport par des capitaux extérieurs.
Peut-on créer une entreprise sans argent ? Certainement pas ! Il ne faut pas sous-estimer les besoins financiers d'une jeune entreprise, et ne pas attendre l'urgence pour trouver des fonds. Est-ce à dire que la création d'entreprise est réservée aux riches ? Non, heureusement : capital, prêts d'honneur, prêts bancaires, Oseo, capital-risque … des dispositifs financiers permettent au jeune dirigeant d'accompagner sa croissance. Comment les utiliser ? Quels sont les pièges à éviter ?