Les nouvelles réalités d’un monde en crise, auxquelles nous faisons face, feront de l’emploi l’enjeu crucial du XXIe siècle. La France doit renforcer son tissu de TPE/PME afin de pouvoir disposer des armes nécessaires dans la bataille pour l’emploi.
Un bassin économique prospère constitue un atout, non seulement pour la sécurité de l’emploi, mais également pour garantir une bonne qualité de vie, primordiale pour la confiance des Français en leur avenir.
L’historique du conflit remonte à Karl Marx avec l’idée de conflit social. Pour lui, le changement est issu de la lutte pour la propriété des moyens de production. Les rapports sociaux sont conflictuels (avantagés et désavantagés). Ce conflit est moteur de l’histoire. Le changement est le résultat des conséquences cumulées des diverses actions conflictuelles engagées par des classes sociales. L’intention est de construire un modèle théorique dont le but est double : expliquer la formation des groupes de conflit et rendre compte de l’action par laquelle ils entraînent des changements de structure (au sens où Parsons entend ce terme) dans le système social.
Plus tard, la psychologie cognitive s’emparera de la notion de conflit au travers de différentes études, en voici quelques-unes.
Le travail est une valeur relative…pour André Comte-Sponville il n’est d’ailleurs pas une valeur du tout puisqu’il n’est pas une fin en soi mais un « moyen ». En d’autres temps, d’autres civilisations, le mot même n’existait pas, non que « l’activité » elle même soit absente mais surtout : il n’était pas comme aujourd’hui l’élément absolu de la structuration sociale, identitaire de l’individu.
Le concept de POEM (Paid, Owned and Earned Medias) est apparu en communication il y a deux ans je crois ; mais s'il a gagné une rapide popularité dans les pays anglo-saxons, je n'en trouve étrangement que peu de traces dans les médias francophones. Il est pourtant important.
Voyons ce que c'est, à quoi cela sert et comment il pourrait être amélioré.
La date du 14 Juillet prête à une réflexion sur le sens des mots et sur les valeurs qui structurent la société et les entreprises. En l’occurrence il m’a semblé opportun d’apporter un éclairage sur des termes dont l’usage est devenu presque aussi fréquent que le nombre d’approximations à leur sujet.
Le principe théorique de parité a pour projet de lutter contre une disparité, tant dans le domaine de la représentativité dans les institutions, que dans le domaine des salaires.
Le succès d’un projet, son aboutissement, sa réussite vient en premier lieu de la volonté de celui (ou de ceux) qui est/sont en charge de le porter. Le principal moteur qui portera ce projet vers sa réussite sera la (bonne) volonté de son « metteur en œuvre ». Le porteur de cette réussite doit transpirer par tous les pores de sa peau une certitude de succès. Il pourra ainsi mettre son « savoir être » en avant. Ce savoir être qui transcende tout individu par sa formidable faculté mobilisatrice. Plus le monde, plus l’environnement est difficile plus celui qui réussira fera preuve de rage de réussir !
Quand on parle d’ «égalité homme femme », on pense immédiatement aux femmes qui rêvent d’avoir les mêmes prérogatives que les hommes. Il ne viendrait à l’idée de personne, de penser à une « égalité homme femme », où les hommes voudraient avoir les mêmes prérogatives que les femmes !
Peu d’hommes se sont lancés dans un avenir pro « réservé » aux femmes, d’ailleurs un homme sage-femme cela semble bizarre. Si les métiers d'hommes sont de plus en plus accessibles aux femmes, la réciproque n'est pas vraie. Les femmes représentent aujourd'hui 47% des actifs, la plupart des professions se féminisent... même si les métiers véritablement "mixtes" restent rares.
Pour la déployer en entreprise il faudra cependant repasser car cette norme est destinée au bien-être ... des poulets de chair. Regardons de plus près cette initiative louable mais intrigante qui nous ferait presque regretter de ne pas chanter le lever du jour. Le bien-être animal a été défini pour la première fois comme un domaine d'action prioritaire dans le cadre du Plan stratégique de l'OIE (Organisation Mondiale de la Santé Animale) couvrant la période 2001 – 2005.
Comme chaque automne, la France a eu le droit à son cortège, ou plutôt ses cortèges, de grèves et de manifestations. Cette année, c’était contre le recul de l’âge de départ à la retraites. Il est vrai qu’à peine sortie de la « Crise » mondiale, qu’alors que des millions de personnes ne demandent elles qu’à travailler, en France on rechigne encore à travailler un peu plus… Mais si la vraie question qu’il fallait se poser, au delà des pénibilités inhérentes à chaque corps de métier, était celle de la relation que chacun d’entre nous a avec son travail.
Sérendipité ? Mot inconnu du Dictionnaire, en France… « l’art de trouver ce que l’on ne cherche pas en cherchant ce que l’on ne trouve pas » (Philippe Quéau dans Wikipedia). « Le don de faire des trouvailles ou la faculté de découvrir, d’inventer ou de créer ce qui n’était pas cherché dans la science, la technique, l’art, la politique et la vie quotidienne, grâce à une observation surprenante » ((Pek Van Andel et Danièle Bourcier op.cit, page 262).
Qu’elle soit d’ordre explicative ou descriptive, isomorphique, provocatrice ou encore Miltonienne, la métaphore est toujours aidante. La bienveillance du coach consiste à déceler le moment opportun pour l’offrir à son sujet et à choisir la forme la plus adaptée aux processus mentaux de ce dernier. Qu’elle soit longue ou courte, complexe ou d’une simplicité déconcertante, directe ou sinueuse, la métaphore reste toujours impliquante pour le coaché qui peut s’en saisir et se l’approprier.
Ca y est déjà, on range les valises et les grasses matinées qu'on avait mis dedans, on reprend le chemin du quotidien, des horaires qui nous rappellent à l'ordre et des projets qu'on avait mis en suspend. Comme chaque année, on se promet de trouver les moyens de prolonger cet état de bien être, quitte à s'imposer une discipline supplémentaire.