Les dirigeants d'entreprises n'ont jamais eu autant de services annexes et de logiciels pour simplifier leurs démarches, pour acquérir des clients, réaliser des études de marché ou gérer leur activité au quotidien. Pourtant, chaque année des milliers d'entrepreneurs ferment boutique à cause d'une gestion défectueuse ou de choix stratégiques mal négociés.
La déshumanisation constante causée par l'émergence des nouvelles technologies isole les créateurs de projet, à tel point qu'ils veuillent tout gérer seuls. Pourtant l'accompagnement que délivrent certains spécialistes comme les sociétés fiduciaires est une réelle plus-value pour les chefs d'entreprise. Voyons ensemble quels sont les services qui peuvent être rendus par ces sociétés spécialisées.
L'apparition du numérique aura eu pour conséquence la multiplication des techniques de conception et de fabrication d'objets en tout genre. Certains secteurs, dont l'industrie, utilisent des logiciels spécialisés permettant de concevoir virtuellement des objets en vue de leur fabrication. Les utilisateurs de ces logiciels, véritables virtuoses de la 3D sur ordinateur, conçoivent des plans de fabrication d'objets divers, pouvant aller d'une simple pièce de voiture ou d'avion au projet immobilier.
L’ubérisation, voici un mot à la mode. Inspiré du concept de la marque américaine Uber, l’ubérisation est ce modèle économique qui permet de mettre directement en relation un professionnel et des clients via les nouvelles technologies. L’idée est de réduire au maximum possible l’aspect administratif afin de réduire les coûts. Cela bénéficie aussi bien au professionnel qui réduit les coûts de production, qu’au particulier qui voit sa facture baisser. Ce nouveau modèle économique s’impose dans de nombreux domaines et le transport aérien n’est pas en reste. Depuis plusieurs années, un nouveau marché se développe, celui des vols privés. Il est désormais possible de louer un jet privé, loin des prix exorbitants qui pouvaient être exercés auparavant. Cette réduction des coûts peut être une aubaine pour le monde de l’entreprise et notamment les PME. Alors, l’ubérisation des vols privés sera-t-elle l’un des moteurs pour les PME de demain ?
Il peut être très intéressant et même souvent essentiel pour une PME de limiter les dépenses afin d’assurer sa pérennité. Souvent sous-estimés, les coûts d’impression que rencontrent les entreprises peuvent rapidement être importants et constituent donc un point de départ judicieux lorsque l’on souhaite diminuer ses dépenses. Mais par où commencer ? Voici quelques pistes relativement simples à mettre en place pour adopter des habitudes d’impression économiques (et écologique) !
Nous avons tous un jour été à la recherche d’une pièce détachée de remplacement suite à une défaillance matérielle. Avant l’avènement du web, le consommateur était contraint de se rendre chez certains spécialistes pour trouver une pièce avec une référence bien précise. Une recherche qui demandait du temps pour rechercher, trouver, commander et se faire livrer la pièce convoitée. Il fallait parfois attendre plusieurs semaines pour conclure ce cheminement. Avec le web, les recherches de pièces détachées s’avèrent plus aisées. En effet de nombreux e-commerces spécialistes de la pièce détachée dans de nombreux domaines ont profité de la puissance du web pour développer leur business en ligne.
C’est un secteur qui a toujours été enclin à la modernisation et à l’optimisation de la performance. Le monde agricole a depuis des années su adopter les changements apportés par le numérique. Les entreprises agricoles évoluent avec le numérique et le numérique évolue avec le monde agricole aussi. Cependant, cette évolution soudaine est-elle véritablement bénéfique pour les acteurs du monde agricole ? Eléments de réponse dans cet article.
Le phénomène Legaltech (de l’anglais Legal Technology) a vu le jour aux États-Unis dans les années 2000. D’abord mal accueillies par les juristes et les avocats, en France, les startups juridiques ont eu un peu de mal à s’imposer. Elles ont pourtant fini par transformer le paysage juridique et démocratiser l’accès au droit.
Quand la finance et la technologie se rencontrent, cela donne la Fintech. Pour beaucoup, ce sont deux mondes bien à part, et pourtant... De jeunes pousses se sont lancées dans le concept qui consiste à utiliser les innovations des TIC dans le secteur de la banque, de l’assurance et de manière générale, dans la finance. Rien ne semble arrêter les Fintechs jusqu’à faire trembler les banques, car leurs services financiers semblent mieux répondre aux besoins du public.
On entend parler un peu partout des concepts de dématérialisation du lieu de travail, de communauté d’idées, coworking et autres bureaux partagés. Mais, vous vous demandez « concrètement, qu’est-ce que je peux trouver comme avantage dans ce flou artistique de nouvelles pratiques branchées ? »
Derrière ce constat il y a une demande : Des entrepreneurs, des indépendants, des start up qui n’ont pas de locaux, qui ne souhaitent pas travailler seuls chez eux, et qui cherchent un bureau à occuper dans un espace de travail. La demande est bien plus importante que l’offre (source : fréquentation du site eworky.fr), tout simplement parce que les PME ne savent pas que l’on peut partager ses bureaux.
Il n'existe pas moins de 37 pistes pour différencier son offre de celles de ses concurrents. C'est en tous les cas le nombre de sujets, que j'ai recensés, susceptibles d'être analysés par des clients au moment de leur acte d'achat. Oui, il y a bien au minimum 37 critères différents de sélection d'un produit ou d'un service, et donc autant de pistes à creuser pour différencier son offre et la rendre plus remarquable que l'offre de son voisin.
Je vous propose ici de lister ces 37 éléments potentiellement différenciateur, que l'on peut regrouper en 6 grandes catégories : les critères liés au produit, les critères liés aux services associés, les critères liés au personnel, les critères liés au lieu de vente, les critères liés à l'image, et les critères liés aux prix.
L'ensemble de ces critères de différenciation n'est que le résultat des différentes attentes des acheteurs / consommateurs tout au long de l'ensemble de leur expérience d'achat et d'utilisation du produit souhaité.
De plus en plus de fournisseurs, surtout dans le commerce d'entreprise à entreprise (le fameux B to B), se sentent obligés de jouer sur le seul levier du prix pour pouvoir se démarquer de leurs concurrents. C'est en particulier vrai pour les entreprises qui jugent qu'il est très difficile, très coûteux, voir impossible de se différencier grâce aux fonctionnalités ou aux qualités propres de leurs produits (c'est typiquement ce que l'on rencontre sur des marchés comme les matières premières, ou des produits ou services qui n'ont pas évolué depuis longtemps).
La plupart du temps, ces entreprises qui se croient contraintes à abaisser leurs prix pour rester compétitives, le font sans avoir pris soin de vérifier comment leurs clients perçoivent l'offre globale du marché et quels sont leurs critères de sélection des fournisseurs. C'est ce qu'on appelle en marketing la valeur perçue par le client.
La France dispose d’une multitude d’accompagnements financiers, humains et matériels en faveur de l’innovation et du développement des entreprises. Selon le Tableau de Bord de l’Union de l’Innovation 2010, elle possède une propension supérieure à la moyenne des 27 pays à distribuer des aides à l’innovation. Les investissements en capital-risque ont par exemple connu une croissance de plus de 3% l’année dernière. Dans ces conditions, comment expliquer que les différents bénéficiaires - industriels ou chercheurs, PME ou start-up - aient si souvent du mal à s’y retrouver ? Pourquoi l’écosystème français de l’innovation est-il si difficile à appréhender ?
Selon une étude de PwC menée auprès de 1 200 chefs d'entreprise du monde entier, les chefs d’entreprise accordent autant d’importance à l'innovation – c'est-à-dire le développement de nouveaux produits et services – qu’à l’augmentation de leurs parts de marchés pour servir la croissance. L'innovation, conjuguée au développement de leur activité, devance à présent tous les autres moyens d'expansion, y compris la pénétration de nouveaux marchés, les fusions-acquisitions, les joint-ventures et autres alliances.
L’innovation est la condition sine qua non du développement des entreprises, de toutes tailles et de tous secteurs d’activité. Pour certaines, c’est même une condition de survie. Mais de nombreux dirigeants d’entreprises, s’ils sont convaincus des enjeux, ont du mal à passer à la pratique. Revenons sur les idées reçues et les principaux leviers de l’innovation en entreprise.
De nombreux opérateurs télécoms ont tout mis en œuvre pour faire évoluer leurs réseaux et services de données afin d’offrir à leurs clients des solutions en tout IP, plus simples à mettre en œuvre et donnant des perspectives d'évolution et de croissance aux entreprises.
D’après l’enquête « Budgets 2010/2011 » de Solutions&Logiciels (janvier 2011), les produits ou services qui seront une priorité des entreprises, et des responsables informatiques au budget 2011, sont par ordre de priorité: les ordinateurs portables, la VoIP, les serveurs et le développement de logiciels et la virtualisation. Les deux premières catégories représentant plus de 40% des réponses.
Il y a un peu plus de 10 ans, Internet existait « à peine » en comparaison du phénomène actuel. Au domicile des particuliers, les connexions atteignaient rarement plus de 56kb et peu d’entreprises utilisaient réellement le web à part pour quelques recherches sur les maigres sites qui existaient. Quel chemin depuis ! Et mesurez les opportunités qui s’ouvrent à vous ! Plus de 3 millions de français ont déjà acheté sur leur mobile… ça vous laisse rêveur ?
Depuis un peu plus d’un an maintenant, vous entendez parler de la réalité augmentée au travers de campagne marketing comme celles des céréales Chocapic ou des lunettes d’Atol. Mais qu’est-ce qui se cache derrière ce mot étrange ? Est-ce vraiment une nouveauté ou une nouvelle lubie des gens de “com” pour nous vendre de bonnes veilles publicités ? Nous vous proposons dans cet article un petit tour du sujet, ces applications et ces utilisations potentielles dans les PME.
Avec le développement des smartphones, le mobile ne doit plus être considéré uniquement comme un canal de communication client. Il s’impose effectivement de plus en plus comme un canal de vente efficace. Renforcer le lien entre les canaux existants tels que les magasins physiques, en ligne, et désormais le mobile, permet aux clients de commencer leur shopping en utilisant leurs smartphones et de finaliser leurs achats en ligne, via un centre d'appel, dans un magasin ou bien sur le terminal lui-même.