Les voitures sont utiles et parfois indispensables au quotidien. Toutefois, elles peuvent tomber en panne à n’importe quel moment. Pour une bonne réparation de son automobile, il faut nécessairement se tourner vers un garage auto professionnel et qualifié. Si vous avez de bonnes compétences en mécaniques auto, vous devriez envisager d’avoir votre propre garage.
Initier et conduire un tel projet offre généralement des retours financiers assez considérables. Si ce processus peut être délicat, prendre certaines mesures permet de s’assurer une rentabilité optimale. Découvrez tout l’intérêt de devenir propriétaire d’un garage auto et profitez de bons conseils !
Le choix de devenir le patron d'un garage automobile franchisé présente de nombreux avantages. L’ouverture d’un garage auto est un investissement rentable. Le marché de l’automobile a toujours été actif et constante progression depuis son expansion. Les pannes sont courantes et très peu de particuliers arrivent à réparer seuls leur véhicule. En choisissant de créer un garage, vous vous donnez la possibilité de travailler à votre propre compte ou de rejoindre un réseau agréé.
Le fait d’adhérer à un réseau de professionnel permet de profiter de leur notoriété. Ceci permet d’attirer plus de clients. Si les démarches pour l’ouverture d’un garage automobile sont fastidieuses, on peut se faciliter la vie en prenant un atelier en franchise. Cette dernière option est très avantageuse notamment d’un point de vue économique.
Par exemple, dès l’ouverture vous avez une certaine notoriété qui permet de vite avoir des clients fidèles. Vous évitez de dépenser dans de grandes campagnes de communication. Cette solution permet aussi de profiter de l’accompagnement continu du franchiseur. Ceci met en sécurité. Pour devenir propriétaire d’un atelier auto, il est nécessaire d’avoir un diplôme professionnel en mécanique ou encore une expérience d’au moins 3 ans.
La création d’un atelier automobile est très recommandée. En effet, la rentabilité d'un garage auto est très intéressante. Pour ouvrir un garage auto, il est essentiel de suivre certaines étapes importantes. Il s’agit de :
En premier lieu, il faut réaliser une étude de marché pour valider la viabilité et la faisabilité du projet. Cette disposition permet aussi de limiter le risque d’échec. Lors de l’étude de marché, on analyse la demande locale par rapport à l’offre existante. On étudie également la réglementation et les normes du secteur pour éviter de s’exposer à des sanctions administratives.
L’étude de marché précède l’élaboration du business plan. La rédaction de ce document est primordiale pour démontrer la cohérence de l’idée de projet et pour vérifier sa rentabilité. C’est aussi l’arme ultime pour convaincre les partenaires financiers. Une fois le business plan rédigé et actualisé, place au choix du local et à l’achat des équipements.
Assurez-vous que le lieu d’implantation soit proche des clients et des fournisseurs de pièces détachées fiables. Pour effectuer les tâches quotidiennes et offrir un service de qualité aux clients, vous devez penser à acheter des outils à la pointe de la technologie. Pensez à définir vos différentes prestations et à innover dans vos services. Ceci est nécessaire pour se distinguer de la concurrence.
Pour finaliser le projet de création d’un garage auto, il faut rédiger les statuts juridiques. Vous devez donner un nom à votre atelier, choisir une forme juridique et communiquer l’adresse du siège social du garage. La création de votre garage est alors publiée dans le Journal d’Annonces Légales. La publication coûte entre 130 et 190 euros.
Pour achever le processus d’immatriculation, il faut déposer le capital social et les pièces justificatives auprès du tribunal de commerce. Le montant du capital social dépend de la forme juridique choisie. Le dépôt se fait généralement dans une institution financière et sur le compte professionnel créé au nom de la société.
Après l’étude du dossier d’immatriculation, le greffe délivre le K-bis contenant toutes les informations utiles sur le garage. Il s’agit notamment du numéro SIREN, du code NAF, de la date d’immatriculation, de la forme juridique et de l’identité du ou des dirigeant(s).
